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Quand le moteur s’éteint : un journal de bord de l’entrepreneur

Une image métaphorique. Une silhouette solitaire se tient de dos, sur un vaste désert craquelé, sous un ciel sombre. Au premier plan, un engrenage éteint et lumineux repose au sol. La silhouette regarde vers l'avant, où une série de petites empreintes de pas s'éloignent vers un point de lumière à l'horizon. L'image symbolise un entrepreneur qui avance malgré la démotivation, laissant derrière lui son moteur au repos, mais avec un objectif lumineux en ligne de mire.

Cette semaine a été une semaine sans. Un de ces moments où l’énergie s’éteint brusquement et où la motivation disparaît, comme si tout mon moteur avait rendu l’âme. J’ai pourtant mis beaucoup d’actions en place : j’ai envoyé 40 courriers la semaine dernière, contacté un accompagnateur BGE et une personne de l’académie de Versailles.

J’ai eu un seul retour, celui du BGE, qui m’a fait comprendre que mon profil ne correspondait pas aux offres disponibles dans leur programme. J’ai pourtant bien un numéro de Siret, mais c’est le même depuis 2019, même si mes activités récentes (Creaflux) ont moins de trois ans. C’est le genre de détail qui peut briser un élan.

Je n’ai pas été réellement déçu, mais j’ai ressenti un immense coup de mou. L’envie n’était plus là, comme si le feu sacré s’était éteint.

C’est dans ces moments que j’ai compris la véritable force de l’entrepreneur. Elle ne se mesure pas au nombre de courriers envoyés quand on est au sommet de sa motivation. Non. La vraie force, c’est de se fixer des objectifs, même minuscules, quand on n’a plus envie d’avancer.

Cette semaine, j’en avais trois, et je les ai tous atteints :

  • J’ai publié une offre sur le portail ODE 91. L’offre est disponible ici : Creavidéo Learning sur le portail ODE 91
  • J’ai ouvert un compte sur Lemlist, un outil de prospection par e-mail.
  • J’ai préparé une séquence de courriels pour ma prochaine campagne de prospection auprès des collèges.

Cela ne m’a pas pris beaucoup de temps, mais l’avoir fait m’a procuré un immense sentiment de satisfaction.

Ces « jours sans » sont ce que l’on appelle la traversée du désert. La passion, si elle est là, peut vous porter loin, mais à un moment, elle ne suffit plus. La vraie force de l’entrepreneur est de se reconnecter à son corps et à ses émotions pour traverser cette phase. C’est un cheminement personnel, un peu comme celui que je partage sur mon blog dédié au développement personnel et à la spiritualité : Le blog Mumbai 31

D’ailleurs si tu créé une activité, je te conseil fortement de faire quelque chose que tu aimes et pas seulement pour le profit « financier » que tu pourrais en tirer, j’ai fait une vidéo sur ce sujet sur ma chaine You Tube :

La semaine dernière, je te partageais mes dernières avancées sur mon projet Creavidéo Learning : vaincre la peur d’entreprendre

C’est drôle, mes articles se transforment peu à peu en un véritable journal de bord ✍️. Cela me fait d’ailleurs me poser une question : as-tu toi aussi traversé des jours sans ? Quels sont tes méthodes pour continuer à avancer ? Je serais heureux de lire ton partage et ton expérience en commentaire 😊.

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